Un matin entre coloc' {Isobel

Jondy demanda si c'était vrai qu'elle l'aimait, Isobel y réfléchit une minute, sa coloc était une des filles les plus gentilles et les plus adorable qu'elle connaissait. Et en plus le café du matin était une véritable drogue pour Isobel, et quand elle n'en prenait pas au moins une tasse, elle était sur d'être de mauvaise humeur toute la journée.

Oui, c'est vrai. Le café et le chocolat noir, je suis certaine que tu peux obtenir tout ce que tu veux de moi avec ça !

Ensuite Jondy lui annonça qu'elle n'avait rien de prévue de la journée, à part trainer en ville. Cela faisait un mois que la jeune femme était en ville et elle devait avoir encore plien d'endroit à visiter. Isobel quand à elle devait essayer de joindre son cousin, uniquement pour prendre de ses nouvelles, et essayer de joindre le réseau de familer rebel. Car même si pour la plupart les familiers était une bande de vieux pervers, certains membres de la nouvelle génération de voyait pas les choses sous le même angle et c'était rebeller et quitter leur famille. Et elle devait aussi se renseigner sur l'endroit ou elle pouvait le chef des trangéniques, une femme appelait Max. Et ensuite elle devait aller à l'hopital et travailler.

Cette idée l'a fit sourire, les urgences étaient un défit pour elle, elle était spécialiste en génétique, malgrè son jeune age, elle était un des medecins les plus brillants chez les familiers elle tenait ça de sa mère. Mais elle avait dut mentir sur son age, pour obtenir le poste aux urgences. Et même si se chefs avaient un doute, le travail qu'elle abatait était tellement bon, qu'il préférait ignorer ses mensonges.

Et bien ce matin je suis de repos, et cet après midi je travail.

Elle était rester vague, mais encore une fois elle ne pouvait pas dire toute la vérité aux personnes proche d'elle, elle ne pouvait s'empecher d'imaginer la tête que ferait son amie si elle lui racontait tout sur une bande de malade qui faisait des expériences tordu depuis des milainaires avec du sang de serpent, et qu'elle était censer être d'accord avec eux, mais qu'elle avait préférer se rebeller et aider les transgéniques sans vraiment savoir comment. Cette idée la fit rire toute seule.

Isobel su tout de suite au regard se son amie qu’elle avait visé juste. Et maintenant Jondy essayait tant bien que mal de paraitre naturel, mais c’était trop tard. Son regard était froid, et elle essaya aussi vite de paraitre naturel, mais quand elle parla même sa voix avait l’air différente. Isobel secoua la tête et elle lui répondit :

Je ne blague pas, Jondy.

La seconde réaction de la jeune femme ne fit que confirmer les doutes de Jondy, essayait de fuir n’était pas la meilleures des solutions. Elle avait même changé de conversation, la rouquine secoua la tête et continua :

Ecoute Jondy, ça expliquerai des tas de choses, le tryptophane. Et des tas d’autres choses, comme le fait que tu ne dormes pas.

Isobel avait peur que Jondy parte et ne revienne pas, et ce n’était pas ce que voulez la jeune familière. Elle s’approcha d’elle, et lui dit :

Ecoute ma chérie, ça ne me pose pas de problème. Jondy tu es mon amie, et le fait que tu sois génétiquement améliorer, ne me dérange pas. Et tu sais pourquoi ?

Elle resta silencieuse quelques instants, elle ressentait le besoin de se confier, de tout dire à celle qu’elle considérait vraiment comme une amie. Elle ferma les yeux et souffla, tout en lui montrant son poignet, là ou il y avait la marque des familiers :

Je ne suis pas tout à fait normale moi non plus. Je suis ce qu’on appelle une familière. Est-ce que tu sais ce que sais ? Mais tu sais je ne suis pas comme les autres familiers, moi je n’ai rien contre les transgéniques. Je te le promets !

Isobel était face à Jondy, la familière et la transgénique, la rousse et la brune, et pourtant même si tout les opposées, les deux jeunes femmes étaient devenues amies, même d’excellente amies. Et Isobel voulait protéger Jondy et pour cela elle était prête à tout lui dire. Anxieuse elle attendait la réaction de son amie.

Jondy avait l'air surprise de la réaction de sa colocataire, elle alla même jusqu'a lui demander si elle comptait appeler la police. Cette idée n'avait même jamais effleurer l'esprit de la familière qui avait au moins autant de chose à cacher que la transgénique. Elle secoua la tête avant de répondre à la brunette :

Non, je n'ai aucunement l'intention de les prévenir. Figure toi que je n'ai pas non plus envie de les voir débouler.

Voir des larmes sur le visage de son amie brisa le coeur de Isobel, elle avait envie de l'a prendre dans ses battres pour l'a réconforter et lui dire que tout irai bien. Que de toute façon elles n'étaient pas si différentes l'une que l'autre. Mais elle préféra s'abstenir en tout cas pour l'instant. De plus Jondy ne savait ce qu'était les familiers et Isobel avait peur que Jondy ne l'a croit pas, où en tout cas ne croit pas le fait qu'elle n'était pas comme tout les autres familiers. Prenant une profonde respiration Isobel répondit avec un sourire crispée :

Je vais tout te raconter, ça va être long, alors tu ferais mieux de t'asseoir. Alors cette marque est le signe des familiers, et il y a tout un language qui va avec, mais c'est assez vieux. C'est pour se reconnaitre les uns et les autres. N'est pas peur de ce que je vais te raconter. Les familiers sont un peu commes les transgéniques, sauf que c'est une selection naturel, après un test bizarre avec du sang de serpent. On est plus fort et plus résistant. Et la plupart des familiers veulent détruire les transgéniques. Mais moi je ne veux pas, alors j'ai quitter ma famille et je suis venue pour pouvoir aider les transgéniques. Je sais que tout ça doit te paraitre bizarre. Mais je te jures que je ne veux pas te faire de mal. Est ce que tu me crois ?

Elle avait préférer s'arrêter là. Et attendre de voir la réaction de son amie, et pour l'instant elle préférait garder sous silence son don d'hypnose. Elle se mordillait les lèvres en attendant la réaction de son amie.